N°125 – Mars 2022

Chères Piégeuses, Chers Piégeurs,

 

Nous venons de traverser une longue période difficile et nous espérons tous que nous sommes au bout du tunnel.

Néanmoins, cette période ne reste pas sans conséquence pour notre activité :

  • Les prix de certains matériaux ont pris une sérieuse augmentation, du coup le matériel de piégeage en subit les conséquences.
  • Le journal va prendre lui aussi une augmentation dans la foulée.

Alors, nous pouvons peut-être éviter d’augmenter nos charges en limitant nos déclarations de sinistres.

En effet, nous avons d’énormes soucis avec les animaux domestiques « chiens et chats » qui sont souvent en divagation et dont certains propriétaires ne respectent pas ou ignorent la législation.

Quand un animal domestique est pris dans un piège, alors il n’y a aucune raison de monter un dossier auprès de notre assurance au cas où il y a intervention d’un vétérinaire, sauf s’il est reconnu que l’animal a échappé à la vigilance de son maître.

Chasseurs, nos chiens ont des contraintes et des règles à suivre… Il en est de même pour les autres….

Une information de grande ampleur mériterait peut-être d’être diffusée, pour informer les gens qui estiment que les bêtes ont le droit de se promener dans la nature comme les humains.

La gendarmerie qui nous rend pourtant d’énormes services a semble-t-il une méconnaissance de notre activité. Peut-être devrait-elle être informée …

Il faut incontestablement protéger et défendre nos piégeurs, ils ont de plus en plus de contraintes bien qu’ils soient indispensables dans certaines situations.

Restons dans notre droit, respectons la réglementation, la nature nous le rendra.

Ne négligeons pas toutes les occasions de remplir les attestations de dégâts qui nous sont signalés, nous en avons besoin, une grosse échéance nous attend.

Ce qui me fait rire, c’est que quand nous allons à la boulangerie ou dans un magasin quelconque pour nous ravitailler, nous aimons bien nous garer le plus près possible gratuitement…

Alors amies piégeuses, amis piégeurs, si vous avez ou si vous connaissez un poulailler ou une volière, vous pouvez aménager un espace « parking à proximité » avec une cage à fauves et quelques pièges à lacet, vous verrez, c’est payant…

Bonne saison à toutes et à tous.

Jean-Claude Charpentier

Président de l’Association pour la Gestion et la Régulation des Prédateurs en Charente Maritime (17)

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AU SOMMAIRE

  • Editorial
  • Infos diverses
  • Nouvelles de l’UNAPAF
  • Quelques brèves
  • Petites annonces
  • Plan national vison d’Europe
  • Castor et ragondin
  • Photos de lecteurs
  • Rongeurs aquatiques envahissants en France
  • Actions Fédération Nationale des Chasseurs
  • Bon à savoir
  • Echec et mat, vivre avec la nature
  • Tribune collective
  • Le goupil à l’affût
  • A l’écoute des associations
  • Pratique : Les incontournables du printemps

EDITO

 

Nous venons de traverser une longue période difficile et nous espérons tous que nous sommes au bout du tunnel.

Néanmoins, cette période ne reste pas sans conséquence pour notre activité :

  • Les prix de certains matériaux ont pris une sérieuse augmentation, du coup le matériel de piégeage en subit les conséquences.
  • Le journal va prendre lui aussi une augmentation dans la foulée.

Alors, nous pouvons peut-être éviter d’augmenter nos charges en limitant nos déclarations de sinistres.

En effet, nous avons d’énormes soucis avec les animaux domestiques « chiens et chats » qui sont souvent en divagation et dont certains propriétaires ne respectent pas ou ignorent la législation.

Quand un animal domestique est pris dans un piège, alors il n’y a aucune raison de monter un dossier auprès de notre assurance au cas où il y a intervention d’un vétérinaire, sauf s’il est reconnu que l’animal a échappé à la vigilance de son maître.

Chasseurs, nos chiens ont des contraintes et des règles à suivre… Il en est de même pour les autres….

Une information de grande ampleur mériterait peut-être d’être diffusée, pour informer les gens qui estiment que les bêtes ont le droit de se promener dans la nature comme les humains.

La gendarmerie qui nous rend pourtant d’énormes services a semble-t-il une méconnaissance de notre activité. Peut-être devrait-elle être informée …

Il faut incontestablement protéger et défendre nos piégeurs, ils ont de plus en plus de contraintes bien qu’ils soient indispensables dans certaines situations.

Restons dans notre droit, respectons la réglementation, la nature nous le rendra.

Ne négligeons pas toutes les occasions de remplir les attestations de dégâts qui nous sont signalés, nous en avons besoin, une grosse échéance nous attend.

Ce qui me fait rire, c’est que quand nous allons à la boulangerie ou dans un magasin quelconque pour nous ravitailler, nous aimons bien nous garer le plus près possible gratuitement…

Alors amies piégeuses, amis piégeurs, si vous avez ou si vous connaissez un poulailler ou une volière, vous pouvez aménager un espace « parking à proximité » avec une cage à fauves et quelques pièges à lacet, vous verrez, c’est payant…

Bonne saison à toutes et à tous.

Jean-Claude Charpentier

Président de l’Association pour la Gestion et la Régulation des Prédateurs en Charente Maritime (17)

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