N°88 – Décembre 2012

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AU SOMMAIRE

  • Nouvelles de l'Unapaf
  • Incontournables de l'hiver
  • Témoignage : Fabrice, piégeur
  • La page pratique : Piégeage aux leurres
  • A l'écoute des associations
  • Les ragondins
  • Laurent Killon
  • La bonne utilisation des collets à arrêtoir

EDITO

A travers le piégeage, la chasse directement menacée.

Et si demain le piégeage était interdit, sans régulation, plus de gestion et par conséquent, plus de gibier naturel.

Deux mois sans piéger dans l’attente d’un nouvel arrêté, des listes départementales réduites, le piégeage est dans l’œil du cyclone.
Le petit gibier sera très vulnérable.
Aujourd’hui la chasse et le piégeage doivent s’unir.
Il faut réagir vite, il faut se mobiliser.
Récupérons au maximum des attestations de dégâts, aussi bien chez les particuliers que chez les professionnels de l’agriculture.

Lors des prochaines Commissions Départementales de la Chasse et de la Faune Sauvage, produisons des dossiers complets avec des pertes chiffrées.

On nous demande d’apporter une solution face aux espèces invasives ou susceptibles de causer des préjudices sanitaires ou économiques à nos concitoyens, donc le piégeage est bien reconnu d’utilité publique.

Arrêtez de nous mettre sans cesse des bâtons dans les roues, de réduire la liste des nuisibles chaque année : le piégeage doit exister mais nous ne voulons pas des « bribes de piégeage ». Pratique ancestrale, laissons nous réguler car les dégâts à la faune, à la flore et aux élevages seraient catastrophiques s’il n’y avait plus de piégeage.

Contre vents et marées, restons motivés, continuons à piéger.

Le Président des Piégeurs de Bourgogne,
Jacques PELUS

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